Saturday, December 29, 2018

Xiaomi présente un nouveau smartphone low cost : le Mi Play

Xiaomi présente un nouveau smartphone low cost : le Mi Play


         
Comme prévu, Xiaomi a présenté cette semaine un nouveau téléphone. Phablette panoramique avec écran à encoche, le Mi Play aurait largement pu être un membre des Redmi, tant sa configuration est typique d’un téléphone entrée de gamme.
L’information était étonnante. Et pourtant, elle était officielle : Xiaomi a bien présenté un smartphone la veille de Noël. Une date qui a certainement eu pour effet de réduire la visibilité médiatique de ce lancement. Cependant, il y avait certainement un effet tactique : le mobile en question ne sera pas le plus emblématique de la marque chinoise (il pourrait même ne jamais arriver en Europe), mais il permet néanmoins à Xiaomi d’occuper le terrain, en attendant les premières annonces de janvier.
Configuration low cost
Le téléphone présenté par Xiaomi est le Mi Play (et non le Play tout court, comme nous l’avions interprété la semaine dernière), un produit qui s’adresse plutôt à une population jeune. Il s’agit d’un téléphone plutôt low cost, doté d’une plate-forme basée sur des Cortex-A53 de ARM et, détail plutôt rare, en provenance de MediaTek. Vous noterez d’ailleurs que Xiaomi fait historiquement appel au fondeur taïwanais pour des Redmi et non pour des Mi. Ce fut le cas récemment avec les Redmi 6 et Redmi 6A, par exemple.
Xiaomi Mi Play
Le chipset ici présent est le récent Helio P35, un octo-core cadencé jusqu’à 2,3 GHz. Outre ces cœurs Cortex-A53, il est équipé d’un GPU PowerVR GE8320 et d’un modem LTE catégorie 4. Il est ici accompagné de 4 Go de mémoire vive et de 64 Go de stockage interne, extensibles par microSDXC (jusqu’à 256 Go supplémentaires). Cette plate-forme sert à donner vie à Android 9.0 Pie, servant de base à MIUI. La batterie est un modèle de 3000 mAh.
Grand écran et double capteur photo
À l’extérieur, nous retrouvons un smartphone typique de la téléphonie actuelle avec du verre à l’avant et du métal sur les tranches. À l’arrière, le matériau ressemble à du verre, mais compte tenu du positionnement, il se pourrait qu’il s’agisse de polycarbonate. Nous pouvons y voir un lecteur d’empreinte digitale. La dalle tactile mesure 5,84 pouces et intègre une encoche de forme arrondie. Le ratio et de 19/9e. La définition est Full HD+.
Le mobile est compatible WiFi ac dual band, Bluetooth 4 .2, GPS (Glonass), jack 3,5 mm et microUSB. Le Mi Play est équipé d’un double capteur photo avec un capteur principal de 12 mégapixels (chaque pixel mesurant 1,25 micron). Il est associé à une optique qui ouvre à f/2.2 et un autofocus à détection de phase. Le second capteur ne sert qu’au soutien du premier (avec calcul des profondeurs pour l’effet bokeh). À l’avant, la webcam est un modèle très classique de 8 mégapixels.
10 Go de data par mois inclus
Le Mi Play est un mobile qui est extrêmement économique, puisqu’il sera vendu en Chine à 1099 yuans (141 euros). Il sera en outre proposé avec forfait data de 10 Go par mois pendant un an. Les détails sur les conditions d’accès à cette offre sont diffus, notamment s’ils sont offerts par Xiaomi ou par un opérateur partenaire (auquel cas il faudrait s’abonner à ce dernier). Cependant, il semble évident que c’est ce plan data qui sera le principal argument de vente du Mi Play.

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Monday, December 17, 2018

Le Samsung Galaxy A8s et son écran à trou sont officiel

samsung
Comme prévu, c’est aujourd’hui que Samsung a présenté le Galaxy A8s. Une présentation peut-être brouillée par la conférence impromptue de Honor, mais qui n’a pas empêché la firme coréenne de dévoiler dans le détail son téléphone.
Comme prévu, c’est aujourd’hui que Samsung a présenté le Galaxy A8s, son premier smartphone avec écran « Infinity Display O ». Il s’agit pour rappel de l’un des nouveaux formats d’écran présentés par Samsung lors de sa conférence des développeurs organisée début novembre. L’Infinity Display O est un smartphone où une partie de la surface ne présente pas d’affichage, comme s’il y avait un trou. Dans ce trou se trouve une webcam. Ainsi, Samsung contourne le problème de la webcam tout en adoptant un design plus borderless encore que ce que la firme proposait avec le Galaxy S9 par exemple.
Rebondissements à répétition
Le Galaxy A8s est donc le premier à intégrer un écran Infinity Display O chez Samsung. Et techniquement, il est également le premier sur le marché, même si Huawei a tout tenté pour lui voler la vedette, d’abord en dévoilant le Nova 4 à la télévision chinoise la semaine dernière, puis en organisant aujourd’hui même une conférence de presse à Hong Kong pour le Honor V20. Dans les deux cas, le mobile a été montré, mais pas détaillé. Alors que Samsung a officialisé son mobile dans les moindres détails. Un bon point pour la marque coréenne qui ne s’est pas laissé démonter par la concurrence.
Samsung Galaxy A8s
Que propose donc ce Galaxy A8s ? Tout d’abord, ergonomiquement, le Galaxy A8s reprend le design des trois derniers Galaxy A en date : le A6s, le A9 (2018) et le A7 (2018). Le dos est en verre minéral. Le bloc photo est dans un coin supérieur. Le lecteur d’empreinte digitale est au centre. Notez la forme de ce lecteur d’empreinte, légèrement ovoïde.
Ecran à trou et Snapdragon 710
À l’avant, l’écran est donc tel que nous l’attendions, avec de très fines bordures.  La dalle est IPS (puisqu’elle est fabriquée par le fabricant chinois BOE, également partenaire de Huawei pour le Nova 4). Elle mesure 6,4 pouces. Elle affiche des images en Full HD+ (1080 x 2340) au format 19,5/9e. La résolution est de 403 pixels par pouce.
Le chipset est ici un Snapdragon 710. C’est la première fois que Samsung emploie cet octo-core, le A6s et le A9 (2018) profitant du Snapdragon 660. Le composant est accompagné ici de 6 ou 8 Go de mémoire vive et de 128 Go de stockage, extensibles par microSDXC jusqu’à 512 Go supplémentaires.
Triple capteur photo
Côté photo, nous retrouvons à l’arrière, comme sur l’A7 (2018), un triple capteur photo. Il ne s’agit pas du même tryptique que dans l’A7 (2018), mais celui du A8s est assez proche. Nous retrouvons le capteur principal de 24 mégapixels avec objectif ouvrant à f/1.7 et autofocus à détection de phase. Nous retrouvons aussi le capteur tertiaire de 5 mégapixels pour le calcul des profondeurs.
En revanche, le capteur secondaire passe de 8 mégapixels à 10 mégapixels, tandis que l’objectif grand-angle cède sa place à un téléobjectif ouvrant à f/2.4. Logiquement, cela s’accompagne d’un zoom optique, mais ce n’est pas précisé officiellement A l’avant, nous retrouvons la webcam du A7 (2018), un capteur de 24 mégapixels avec objectif ouvrant à f/2.0.
Pas de port jack 3,5 mm
La batterie du Galaxy A8s est légèrement meilleure que celle du A7 (2018). Sa capacité est de 3400 mAh (contre 3300 mAh) et elle est compatible charge rapide. L’équipement général du téléphone inclut les connexions Bluetooth 5.0, WiFi ac dual band, NFC, LTE catégorie 6, Samsung Pay et GPS (Glonass et Beidou). Un port USB type-C 2 .0 est présent, ainsi que deux ports nano SIM. En revanche, le port jack 3,5 mm disparaît. La présence d'un adaptateur n'est pas confirmée (mais son absence serait étonnante de la part de la marque). L’ensemble fonctionne avec Android, ici en version 8.1 Oreo et habillé de la surcouche Samsung.
 La coque du mobile est en aluminium et en verre. Elle mesure 7,4 mm d’épaisseur. Le Galaxy A8s pèse 173 grammes. Il se décline en bleu, vert et gris. Son prix n’a pas été révélé. Mais son lancement commercial aura lieu le 21 décembre prochain. Soit en fin de semaine prochaine.

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Saturday, December 8, 2018

Prise en main du Samsung Galaxy J6 : un smartphone fonctionnel et endurant

Prise en main du Samsung Galaxy J6 : un smartphone fonctionnel et endurant

         
Samsung Galaxy J6
Le Galaxy J6 symbolise le retour de la gamme J de Samsung dans le segment low cost que le Galaxy J7 avait abandonné. Moins de métal. Moins de signes premium. Mais une bonne impression pour un mobile vendu à 249 euros.
L’année dernière, nous avons publié le test du Samsung Galaxy J5 (2017). Et nous avons constaté une belle montée en gamme de la gamme J de Samsung avec des coques en aluminium et des prestations techniques relativement bonnes. Surtout par rapport aux smartphones low cost que la firme coréenne proposait quelques années auparavant, à l’époque du Galaxy S5. Et nous avions noté que, hormis l’ergonomie, la différence entre le J5 (2017) et le A5 (2017) n’était pas si énorme.
Samsung Galaxy J6
Juste un Galaxy A6 avec une coque en plastique ?
Impression confirmée cette année, puisque le successeur « légitime » du Galaxy J5 (2017) est le Galaxy A6 que nous avons testé dans nos colonnes. Un test titré : « Un Galaxy J s’est glissé chez les Gaalxy A ». Cependant, Samsung n’abandonne pas le low cost. Au contraire, la marque a souhaité recoller avec les fondamentaux de ce segment, en proposant le Galaxy J6, remplaçant commercial du Galaxy J5 (2017), vendu sous la barre des 250 euros et sujet de cette prise en main. C’est un téléphone sans chichi, sans signe ostentatoire de richesse, avec ce qu’il faut, mais pas plus. En voici la fiche technique laquelle ressemble beaucoup à celle du Galaxy A6 :
  • poids : 154 grammes
  • ratio-écran / surface du mobile : 76,5 % environ
  • Coque en polycarbonate
  • format d’écran : 18,5/9e
  • écran Super AMOLED HD+ de 5,6 pouces (résolution de 293 pixels par pouce)
  • protection verre minéral Gorilla de Corning
  • chipset Samsung Exynos 7870 (octo-core Cortex-A53 cadencé jusqu’à 1,6 GHz)
  • GPU ARM Mali-T830 MP1
  • 3 Go de mémoire vive
  • 32 Go de stockage interne (extensibles par microSDXC jusqu’à 512 Go)
  • batterie de 3000 mAh (non amovible)
  • compatible LTE catégorie 6, WiFi n, Bluetooth 4.2, GPS (Glonass et Beidou), NFC, radio FM
  • port microUSB 2.0, port microSDXC dédié et port jack 3,5 mm
  • lecteur d’empreinte digitale au dos
  • simple capteur photo 13 mégapixels avec objectifs ouvrants à f/1.9, flash LED et autofocus à mesure de contraste
  • webcam 8 mégapixels avec objectif ouvrant à f/1.9 et flash frontal
  • dual SIM (nano SIM)
  • Android 8.0 Oreo avec Samsung Experience 9.0
  • accessoires inclus avec : un chargeur mural, un câble USB type-C, un kit mains libres
Comparons quelques instants les Galaxy J6, A6 et J5 (2017). Vis-à-vis de ce dernier, le Galaxy J6 offre un écran plus grand, mais un design moins qualitatif, repositionnement oblige et une plate-forme similaire. Le Galaxy A6 reprend quant à lui les atouts et les atours du Galaxy J5 (2017) et le format du Galaxy J6. Ainsi, la grande différence entre le Galaxy A6 et le Galaxy J6 n’est pas à l’intérieur du mobile, mais à l’extérieur.
La prise en main classique d'un Galaxy J
Nous retrouvons ainsi la prise en main très classique des Galaxy J tels que nous les connaissions il y a deux ou trois ans avec les Galaxy J5 (2016) ou le Galaxy J5. La coque est en plastique. Le bloc photo est carré et placé au centre de la face arrière. Il est flanqué d’un flash. Seuls indices que ce J6 est bien plus moderne : le haut-parleur mono est placé sur l’une des tranches et le lecteur d’empreinte digitale est positionné à l’arrière. C’est un design très classique, mais fonctionnel. Sans chichi.
Samsung Galaxy J6
Nous retrouvons cette même impression avec l’interface du smartphone. Si vous refusez dès le départ l’installation automatique de la suite d’applications de Samsung (que vous pouvez toujours aller chercher sur Samsung Apps par la suite), vous vous retrouvez avec un environnement plutôt sobre. À l’image du Galaxy S9 ou du Galaxy Note 9, le Galaxy J6 profite ici de Samsung Experience (avec quelques ajustements bien évidemment). Bixby est présent, avec son écran dédié. Les menus customisés par la firme (zone de notification et de réglage rapide, tiroir d’applications, menu de paramétrage) sont présents et à jour. Pas d’anciennes versions d’Android ici puisque le Galaxy J6 profite d’Android 8.0 Oreo.
Samsung Galaxy J6 interface Samsung Galaxy J6 interface Samsung Galaxy J6 interface
Performances limitées mais très bonne autonomie
Toujours dans le même esprit, les performances du smartphone ne sont pas exceptionnelles, mais sont à la hauteur de ce que nous attendons de la part d’un Galaxy J : l’interface est fluide, la navigation sur Internet l’est également. Nous aurions évidemment préféré que l’Exynos 7870 soit au moins associé à 4 Go de RAM (comme c’est le cas dans certains pays) à défaut d’être remplacé par l’Exynos 7880 (qui aurait largement mérité sa place ici, au moins pour la connectivité Bluetooth 5.0). Mais Samsung fait ici dans la simplicité. Voire même dans le minimalisme.
Samsung Galaxy J6 interface Samsung Galaxy J6 interface Samsung Galaxy J6 interface
Il y a cependant deux éléments importants sur lesquels le Galaxy J6 est une très bonne surprise. Le premier est l’autonomie. Puisque la plate-forme est plutôt frugale, elle consomme moins d’énergie. L’autonomie du Galaxy J6 en usage classique peut atteindre les deux jours, voire plus si vous activez le mode économie d’énergie. Attention cependant, puisque la plate-forme n’est pas particulièrement puissante, elle travaillera plus longtemps à plein régime dans certains usages (notamment les jeux).
Le second élément que Samsung n’a pas négligé est l’écran. Il s’agit d’une dalle Super AMOLED très lumineuse et très contrastée (OLED oblige). Les angles sont bien ouverts et la réactivité de la dalle est bonne. Même si la résolution est assez faible selon les standards actuels (moins de 300 pixels par pouce), la dalle offre de très belles couleurs. Le rendu est bon.
Peu mieux faire en photo
La photo est certainement son plus gros point faible, notamment quand on connaît les performances de Samsung sur le haut de gamme. Même si l’application est généreuse en modes et en réglages divers, le capteur 13 mégapixels est peu qualitatif. La luminosité est plutôt mal gérée, avec des écarts considérables entre les zones sombres, dans la rue en contrebas, et les zones très claires, comme ici le ciel. Si bien que le capteur choisit d'en privilégier une au détriment de l'autre. Le bruit apparaît rapidement quand la lumière vient à baisser. Pour les portraits, le Galaxy J6 offre un flou d’arrière-plan correct, mais l’autofocus est un peu trop lent. C’est d’autant plus frustrant après la prise en main du Galaxy Note 9, particulièrement intéressant en photo.
Samsung Galaxy J6 photo
Samsung Galaxy J6 photo
Si le Galaxy J5 (2017) était trop proche des standards milieu de gamme du catalogue de Samsung (au point d’intégrer son successeur à la gamme A), le Galaxy J6 recolle donc bien aux standards low cost dont nous avions l’habitude entre 2015 et 2016. Nous constatons d’ailleurs, entre le J5 (2016) et le J6 tout le travail effectué en deux ans par Samsung sur l’interface et l’optimisation logicielle.
Nous aurions aimé que ce travail affecte davantage les performances techniques (or autonomie) et photographiques de cette proposition. D’autant, que le Samsung Galaxy J6 est vendu au-dessus de la barre des 200 euros où la concurrence chinoise est plus agressive.

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70 millions de Nokia vendus depuis le retour de la marque

70 millions de Nokia vendus depuis le retour de la marque       

nokia
Lors de sa conférence de presse à Dubaï, HMD Global a partagé quelques informations sur ses plans pour l’avenir et ses résultats depuis la reprise de la marque Nokia. Et les chiffres sont assez impressionnants.
Si Microsoft avait su le réel potentiel de la marque Nokia, les décisions du groupe de Redmond auraient-elles été différentes à son égard ? Car les résultats obtenus par HMD Global, depuis le rachat de la licence d’exploitation de la marque et l’arrivée des premiers mobiles (avec le Nokia 6), forcent le respect. En voici une autre preuve : HMD Global aurait commercialisé 70 millions de téléphones Nokia depuis le lancement de son activité. Soit en deux ans.
Nokia 7.1
Le Nokia 7.1 est typique de la stratégie de Nokia en 2018
Ce chiffre a été dévoilé à nos confrères allemands de WinFuture ont eu l’occasion de s’entretenir avec des représentants de Nokia lors de la conférence de presse organisée cette semaine à Dubaï par HMD Global. Une interview durant laquelle la firme finlandaise en a profité pour parler un peu d’avenir.
Montée en gamme progressive
Et les perspectives sont bonnes. Car la firme finlandaise, contrairement à d’autres acteurs historiques de la téléphonie (et contrairement à Microsoft), s’appuie sur une offre en phase avec les attentes des consommateurs et un catalogue capable de concurrencer les marques chinoises les plus agressives sur leur propre terrain de jeu. Cependant, HMD Global ne veut pas se contenter d’une reconnaissance sur les segments où les prix sont peu élevés (entrée et milieu de gamme low cost). Son but est de monter progressivement en gamme.
Cela démarrera en 2019 avec le segment « premium », coincé entre le milieu de gamme et le haut de gamme. C’est le terrain de jeu préféré de OnePlus, Xiaomi et Honor. Les flagships quant à eux, ne seront une priorité stratégique qu’en 2020. L’idée de HMD Global est de monter en compétence progressivement, en développant de nouvelles technologies et en s’appuyant sur ces partenaires (comme Carl Zeiss). Innover sera l’un de ces objectifs en 2019. Nous avons hâte de savoir comment cela va se concrétiser.
Les bons résultats se multiplient
Le chiffre annoncé par HMD Global n’est pas surprenant. En début d’année, une étude confirmait déjà la bonne tendance : GfK annonçait que Nokia était revenue dans le Top 5 européen, derrière Samsung, Huawei, Apple et Xiaomi, dans cet ordre. Avec 1,6 million de smartphones vendus sur le premier trimestre 2018, Nokia représente 3,5 % de part de marché.
Une autre étude du début d’année, en provenance de IDC cette fois, affirmait que Nokia avait pris la place de numéro 2 du marché mondial du feature phone en 2017, et ce en 12 mois d’activité sous la houlette de HMD Global. Cela représente 59,2 millions de mobiles, tels que le nouveau Nokia 3310. En Europe, Nokia serait même en position de leader. Nous ne savons pas si, un an plus tard, cela sera toujours le cas. Mais si cela se confirme, le retour du 8110 y est certainement pour quelque chose.

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